Lors de son dernier podcast, Booker T est revenu sur le fait qu’il n’était plus aux commentaires de Raw ni de Smackdown Live et qu’il avait été relégué dans l’équipe des Kickoffs.
Au cas où vous auriez manqué l’information, c’est Jonathan Coachman qui va prendre la place du Hall of Famer à la table des commentateurs du show rouge. Même si Booker T n’est pas en colère contre Coachman, il semble avoir cependant beaucoup de ressenti vis-à-vis de son collègue Corey Graves. La raison pour laquelle il lui en veut autant n’est pas tout à fait claire mais il dit que c’est la faute de Graves s’il n’est plus aux commentaires.
Dans ledit podcast, Booker T tient des propos violents envers le jeune homme et aimerait même régler physiquement ses comptes avec lui. Voici ce qu’il a déclaré :
« Corey Graves est un jeune homme éduqué, il a de la tenue et utilise un langage très courant qui est très différent du mien. Mais, si Corey et moi nous battions, je le frapperais comme on frapperait quelqu’un qui vous a volé quelque chose. Je lui botterais le cul toute la journée.
Tu sais, je suis un mec sympa jusqu’à ce que tu touches mon mauvais côté. Je ne peux pas dire que Corey l’a fait mais c’est à cause de lui que je ne suis plus aux commentaires de Raw actuellement. De nombreuses personnes dans la compagnie pensaient que j’allais lui sauter dessus et lui faire du mal. Ils pensaient que j’allais le démolir.
Je l’aurais bien frappé jusqu’à ce qu’il me supplie d’arrêter. J’en étais à ce point-là, j’étais énervé à ce point-là. Les officiels m’ont demandé de prendre du recul et de me calmer. Ils veulent que je fasse un pas en arrière et donc ils me renvoient aux commentaires des Kickoffs. Ils ne veulent pas que je touche à Graves car ils ne savent pas ce que je serais capable de lui faire. Ils disent que je pourrais lui briser la nuque.
Vous savez, il est assis à la table pour une raison et il le sait. Ce que je vais dire va probablement faire du bruit mais si jamais j’attrape Corey Graves dans la rue, je vais lui régler son compte. Je ne ferai rien au bureau ou dans un aéroport. Je veux qu’on règle cela d’homme à homme. »