CHARLOTTE POUR PENSACOLA NEWS JOURNAL :
Être dans l’ombre de son père :
“Quand on grandit avec un père célèbre, on finit par se demander sérieusement si on veut faire le même métier que lui. Par exemple, je ne peux pas imaginer la pression que peuvent ressentir les enfants de Michael Jordan. Pour ma part, je pense que ça a construit le personnage que j’ai aujourd’hui. Ça a été dur au début de suivre les traces de son père. Mais jamais je ne voudrais changer mon nom de famille, je ne pourrais pas être plus fière de continuer son héritage.”
Son évolution :
“Je ne pense pas avoir quelque chose à prouver mais je veux toujours m’améliorer. Mon père a passé 40 ans dans ce business, à créer ce superbe héritage. Je ne suis dans le milieu que depuis 4 ans et demi. Je dois simplement continuer et évoluer. Personne ne sait ce que sera Charlotte Flair dans 2 ans.”
“C’est une transition pour moi mais il faut voir ça comme un challenge. Je veux être la meilleure Babyface possible. Après, il est certain que mon personnage est, de base, clairement associé à une Heel. Mais je suis prête à faire ce qu’il faudra pour être une Babyface.”