Karl Anderson est apparu récemment dans le Robert’s Wrestling Podcast. Après une entrée fracassante à Raw il y a tout juste quatre mois, il revient sur la manière dont lui et ses collègues du Club envisageaient leur avenir avant de signer avec la WWE.
Sur sa vie à la WWE :
“Je suis amoureux, amoureux de la vie, là tout de suite, mec. Il y a eu une folle tempête de changements dans mon calendrier et dans ma vie. C’est génial mec. Au fond, Gallows, AJ et moi on voulait venir à la WWE. C’est à cent pour cent ce que nous voulions, mais on pensait que l’occasion était déjà passée. Et nous étions heureux de faire ce qu’on faisait, on ne voulait pas mendier à qui que ce soit pour rien. On a juste pensé ‘Mec, on va continuer de faire ce qu’on fait. On va continuer à la New Japan et à faire d’autres choses en Indy. Continuons de faire autant d’argent qu’on le peux et si la WWE appelle, tant mieux. Mais peut-être que ce ne sera pas le cas, ou peut-être que si.‘ Et puis d’un coup, en décembre 2015 ou janvier 2016, la vie a complètement basculé.”
Sur la conservation de son nom :
“Quand on a eu l’opportunité d’aller à la WWE, le changement de nom était à envisager. Si ça avait été la cas, on aurait été d’accord parce que c’était une chance. On espérait juste pouvoir rester ensemble autant que possible. Mais pour notre défense, ou d’un point de vue plus positif, je pense qu’on a fait un travail tellement cool et tellement de grandes choses à la NPJW qu’on s’est fait un nom là-bas. Si bien que la WWE a décidé qu’elle ne pouvait pas changer nos noms. Peut-être que nous avons eu tant de fans qui nous ont reconnu comme Karl Anderson, AJ Styles et Luke Gallows que ça aurait été un peu ridicule de changer nos noms. Voilà comment je vois les choses à ce sujet.”
Sur la liberté de création à la WWE :
“Qui aurait cru que j’aurais autant de liberté ? Avant que je signe à la WWE, j’ai tout entendu de la part de personnes négatives ‘Tu n’aura pas la liberté de faire quoi que ce soit.‘ Et si vous avez vu notre arrivée à Raw, vous savez que tout cela est faux. Nous arrivons à être nous. On est nous-même.”