A en croire le Wrestling Observer, l’échec à un contrôle antidopage de Roman Reigns est dû à un diagnostic positif pour de l’Aderall. Ce médicament utilisé dans le traitement du trouble déficitaire de l’attention est notamment utilisé de façon détournée par les étudiants américains pour augmenter leurs capacités de raisonnement.
Ce psychostimulant conventionnel est banni par la plupart des organisations sportives pour ses effets secondaires. En effet, l’Aderall peut masquer la faim, la fatigue et réduire dans une certaine mesure la douleur.
Roman Reigns a terminé mercredi dernier ses 30 jours de suspension pour sa première violation à la politique de bien-être de la WWE.