“Je sais que je peux me battre. Je sais que mes coups de pied peuvent détruire. Ce n’est pas parce que je n’ai pas de carrière dans le catch que je ne peux pas détruire quelqu’un. J’ai vu plus dans ma carrière en n’ayant jamais combattu que toutes ces filles réunies. Quelle fille a été en face à face avec The Rock ? Avec John Cena ? Chris Jericho ? “Rowdy” Roddy Piper ? Et je pourrais encore continuer ! Donc, si vous voulez me challenger, me critiquer, ou dire que je ne suis pas assez bonne, je vais vous détruire. Ne me poussez pas.”
Etiez-vous nerveuse pour votre match à Wrestlemania ?
“Avant Wrestlemania, bien sûr. C’était mon premier match, et il y avait plus de 100 000 personnes. La plupart du temps, on démarre devant 100 personnes. Mais The Ravishing Russian voit les choses en grand ou ne fait rien, donc voulait débuter sur la grande scène. En Russie, échouer n’est pas une option, faire quelque chose de moyen non plus.”
Pourquoi vous focalisez-vous autant sur votre entraînement in-ring ?
“Je vois un certain nombre d’hommes et de femmes qui, une fois qu’ils se disent ‘Ça y est, on est dans le roster principal ! On est des professionnels !’, perdent cette envie d’apprendre et de se perfectionner. Je pense que c’est ça qui sépare le bon de l’excellent, l’excellent de l’icône. Et je veux être une icône.”
En quoi a consisté votre entraînement ?
“Je me suis entraînée en tout : MMA, jujitsu, kickboxing, Krav Maga et boxe. Rusev m’a appris beaucoup de choses. Je suis allée au Performance Center pour me remettre en forme avant d’aller en Europe, où je lutterai avec la Team B.A.D and Blonde.”
“Je n’aime pas dire mes plans aux gens, car ce sont des grands plans. Si je dis ‘Oh, c’est ça que je vais faire’, alors je vais être une menace pour les autres. Mais je peux vous promettre une chose : je serai la meilleure femme à être rentrée à la WWE, et je vais laisser le meilleur héritage que la WWE n’ait jamais vu.”
